Amour ou dépendance affective ?

… quand l’amour devient de l’attachement dû au manque.  

Amour ou dépendance affective

Une personne de ma communauté me partageait qu’elle s’était rendue compte qu’elle n’avait jamais vécu des histoires d’amour mais seulement des histoires de dépendance affective. Elle réalisait à quel point c’était compliqué pour elle de faire la différence entre les deux.

Sacrée prise de conscience de se rendre compte que l’on est dans la dépendance affective … et souvent bien douloureuse.  

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Se donner de la valeur

… est-ce si important ? 

Se donner de la valeur

C’est une question que l’on m’a souvent posée … Pour quelle raison est-ce si important de se donner de la valeur ? Pourquoi faut-il s’estimer et s’aimer ?

 

Cela ne suffit-il pas d’aimer les autres ou d’être aimé ?

Ce serait bien, mais en fait … non cela ne suffit malheureusement pas.

 

Si tu ne t’estimes pas à ta juste valeur, tu risques être déséquilibré dans ce que tu donnes aux autres et ce que tu reçois de leur part. Dans ce que tu donnes aux autres et dans ce que tu te donnes à toi-même.

 

Avoir conscience de ta valeur change tout dans le rapport que tu as à toi-même.

Quand tu t’aimes, que tu reconnais et honores ta valeur, cela change tout à la façon dont :

 

… tu te traites et dont tu acceptes d’être traité

… tu te comportes avec toi-même dans les situations compliquées

… tu te positionnes lorsque quelqu’un tente d’abuser de toi

… tu ne te contentes plus des miettes que l’on te donne en attendant mieux plus tard

… tu prends ta juste place et tu arrêtes de te cacher pour ne pas déranger

… tu sais que tu mérites le meilleur comme chaque être de cette planète.

 

Lorsque tu as conscience de ta valeur réelle, tu réalises tout ce qui est précieux en toi au-delà de ton temps, ton énergie, ton amour … Toute cette unicité qui fait qu’à côté de toi la vie vaut la peine d’être vécue.

 

Si tu n’es pas conscient de ta valeur, quelqu’un d’autre se chargera de la fixer et dans tous les cas cette situation ne sera pas très confortable pour toi.

 

Dans le cas où ta valeur est haute dans les yeux de cette personne et que tu ne sais pas encore te donner l’amour et la reconnaissance dont tu as besoin pour te sentir bien dans ta vie.

Il y a un risque que tu aies besoin de cette personne pour te sentir aimé. Tant qu’elle est disponible se passe bien.

Mais si par malheur, elle ne te donne plus ou plus assez d’amour, d’attention, de reconnaissance.

Si elle disparait de ta vie pour une raison ou une autre, le manque va rapidement se faire sentir et devenir insoutenable. C’est le réveil asuré de la blessure d’abandon

 

Dans le cas où ta valeur est basse dans les yeux de cette personne et que tu ne sais pas toi-même la rehausser pour la remettre à sa juste place. Indépendamment de ce que cette personne peut en dire ou en penser.

 

Cela veut dire qu’elle a entre les mains le pouvoir de te faire sentir bien ou mal au gré de ses envies ou de ses besoins. Ce pouvoir qui est le tien, celui de prendre conscience à quel point tu es un être merveilleux, se retrouvera

… au mieux dans les mains de quelqu’un qui t’utilisera et jouera avec toi pour obtenir ce qu’il souhaite … au pire dans les mains de quelqu’un qui te fera souffrir pour rehausser sa propre valeur.

 

Lorsque tu sais en quoi c’est une chance pour les gens qui te côtoient que tu sois présent dans leur vie … alors tu peux partager cette valeur avec des personnes qui la reconnaissent, l’honorent et sont dans un partage sincère et authentique de ce qu’ils ont eux aussi à t’offrir de précieux.  

 

Connaitre et honorer ta valeur, c’est t’assurer que quoiqu’il se passe à l’extérieur de toi

… à l’intérieur tu es en sécurité, en paix et dans la joie d’être à tes propres côtés.

 

Mon programme s’ouvre aujourd’hui. Si tu le souhaites, il t’aide à te reconnecter à toi, augmenter la valeur que tu te donnes et à travailler sur les blessures émotionnelles qui t’empêchent de voir et d’embrasser cette valeur qui est la tienne. Je t’en dis plus dans cette vidéo.

Prends soin de toi,

Anne-Laure Terrisse

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Faut-il croire en ses rêves ?

… ou est-ce une illusion ?

croire en mes rêves

« Est-ce que je dois croire en mes rêves ? » 

Si tu me poses la question, je vais te répondre « oui à 100 % »,

… crois dans ce qui t’appelle du fond de ton âme,

… suis cet appel même si ça ne te semble pas logique ou raisonnable,

… suis cet élan de l’intérieur qui va autant de passionner et t’enthousiasmer qu’il va te faire peur.

 

Parce que oui, suivre ses rêves fait peur … Tu vas voir que c’est beaucoup plus simple quand tu as un rêve de le mettre de côté en te disant que

… ce n’est pas pour toi, que c’est inaccessible,

… de toute façon tu ne sais même pas comment tu pourrais t’y prendre pour le réaliser,

… tu ne penses pas avoir le talent ou les capacités pour le faire,

… pleins d’autres font certainement déjà la même chose que toi, … en mieux,

… tu as déjà tenté (du bout des lèvres) et ça n’a pas fonctionné,

… tu n’as pas les moyens, le temps, l’énergie pour le faire.

 

Tu sais, toutes ces excuses parfaites que ton mental va trouver pour ne pas te mettre en action et pour abandonner avant même d’avoir essayé … je veux dire vraiment essayé.  

 

J’ai tenté les deux voies et maintenant j’accompagne ceux qui le souhaitent à se délester de tout ce qui les empêchent d’être pleinement eux-mêmes (les peurs, les croyances obsolètes, les blessures émotionnelles qui font boucler dans les mêmes schémas … encore et encore) et de réaliser … leurs rêves les plus profonds.

 

La voie de la mise de côté de mes rêves m’a coûté cher … très cher. J’ai passé plus de 20 ans à vivre une vie qui manquait de sens, de profondeur, d’intensité parce que j’avais fait le choix de rester bien au chaud avec mes peurs.

 

Parce que dans le fond, je ne connaissais que ça … la peur.

 

Tout me faisait peur. J’étais tellement intimement convaincue, que je n’allais pas pouvoir y arriver seule, que le monde extérieur était dangereux, que je n’avais pas la force, l’énergie, le courage pour aller dans cette direction, que j’ai préféré pendant longtemps faire le choix du confort et de la sécurité d’une vie bien rangée … qui dans le fond n’était pas ce dont je rêvais.

Avoir un job de salariée, bosser pour quelqu’un d’autre, rentrer à la maison, m’occuper de la logistique, échanger quelques mots avec mon mari de l’époque, ne plus rien avoir à se dire et opter pour la télé, aller me coucher épuisée … pour recommencer la même chose le lendemain, la semaine suivante, l’année suivante ne me faisait pas vibrer 

… mais alors là, pas du tout !

Mais je me sentais en sécurité parce que c’est ce qu’on m’avait toujours vendu comme étant une vie normale … le reste me terrorisait parce que je ne savais pas ce qui se cachait derrière … ni si je n’allais pas violemment me vautrer en suivant cette autre voie qui m’appelait tellement.

 

Celle de bosser pour moi selon mes critères,

… en suivant mon inspiration chaque jour,

… aider et inspirer des milliers de personnes à travers le monde,

… voyager et découvrir sans cesse de nouvelles personnes,

… de nouveaux horizons, de nouvelles cultures et façon de vivre,

… partager avec des personnes ayant les mêmes aspirations, les mêmes valeurs des moments de vie improbables,

… construire de nouvelles manières de penser et de fonctionner avec d’autres qui ont aussi à leur échelle, envie de changer le monde.

Voilà ce qui me faisait complètement vibrer !

 

Etant hypersensible, je me disais qu’une claque de ce type touchant à quelque chose d’aussi profond que mes rêves, je ne m’en relèverai jamais.

Alors j’ai retardé l’échéance, au maximum … Jusqu’à devenir quelqu’un que je ne supportais plus, jusqu’à vivre une vie que je ne supportais plus et à vraiment me dire qu’il était temps de vivre autre chose, quoi qu’il m’en coûte … parce que ça ne pourrait de toute façon pas être pire que ce que je vivais déjà.

J’ai mis plus de 20 ans avant d’oser faire ce saut dans le vide.

Emmanuelle te partage dans cette interview ce que ça fait de suivre ses rêves … et de les voir se réaliser. Elle a été beaucoup plus rapide que moi dans le choix de suivre son âme parce qu’elle a fait le choix de se faire accompagner.

Bien plus tôt que je ne l’ai choisi pour moi-même. Et ça, ça change tout sur le coup d’accélérateur que tu vas donner à ta vie.

Et toi est-ce que tu boucles encore dans une vie qui ne te ressemble plus ? Si c’est le cas, depuis combien de temps est-ce que tu vis cela ? Et combien de temps encore vas-tu t’imposer ça ?

Il n’y a rien de mal fait … Juste le temps qui passe, et une vie qui s’écoule …

 

Prends soin de toi,

Anne-Laure Terrisse

 

PS : Si tu as besoin d’aide, je suis là : https://www.anne-laure-terrisse.com/contact

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Réaliser son rêve …

… est-ce possible ? 

réaliser son rêve


Ana ne me croyait pas quand je lui ai dit « fais confiance et demande à l’Univers ce que tu souhaites … et tu verras qu’il t’enverra ce qu’il faut pour réaliser ton rêve … si tu choisis vraiment de t’engager envers toi-même à fond et de faire ce qu’il faut quand il te met de l’aide sur ton chemin ».


Parce que la réalité, c’est que quand tu décides de suivre la voie de ton âme … L’Univers conspire pour t’aider à atteindre ce qui t’est destiné. C’est ce que Ana te confie dans ce témoignage où elle explique comment elle a réalisé ce qui lui semblait impossible … avoir un manège.

L’inverse est vrai aussi. Si tu suis ta course folle dans le sens inverse de ce que ton âme a décidé pour toi, malgré les avertissements que l’on t’envoie, t’invitant avec insistance à changer de direction … Eh bien la vie risque d’interrompre ta course de manière assez nette et brutale.

Généralement, tu sais assez vite quand tu prends la bonne direction.

Si tu as un doute, voici un petit exercice que je te propose pour clarifier les choses en toi … il te suffit de répondre à ces questions.

  • Es-tu heureux dans ta vie actuellement ? Est-ce que ta vie te fait vibrer ? Je veux dire pas juste bien ou satisfait mais pleinement heureux dans chacun des aspects de ta vie ?
  • Est-ce que tu prends des directions dans ta vie par peur de quelque chose (peur du manque, peur d’avoir honte, d’être jugé, de l’insécurité, …) si oui, lesquelles ?
  • Est-ce qu’il y a des choses que tu t’empêches de vivre parce que ça te fait vraiment peur … même si tu sais au fond de toi que ça te rendrait probablement bien plus heureux de les expérimenter ?
  • Qu’est-ce qui te fait profondément rêver mais que tu penses être inaccessible pour toi aujourd’hui ?

Si tu sens que tu as besoin d’aide pour aller vers tes rêves, vers une version de toi plus sereine et épanouie, vers une vie qui te ressemble davantage, ne reste pas seul. Offre-toi la chance d’avancer accompagné et de diminuer la prise que tes peurs et tes blocages peuvent avoir sur toi … que ce soit avec moi ou avec quelqu’un d’autre, peu importe finalement.

L’important est que tu ne restes pas bloqué là où tu es parce que tu ne sais juste pas comment faire pour avancer.

 

Prends soin de toi,

Anne-Laure

 

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Les blessures émotionnelles

… à quoi ça ressemble concrètement ?

Blessures émotionnelles

Je t’ai parlé dans mon post précédent des caractéristiques de l’hypersensibilité que j’avais découvertes chez moi, mais je ne t’ai pas encore dit qu’avec cette découverte j’ai aussi réalisé que j’avais pas mal de blessures émotionnelles qui s’étaient réveillées.

 

Je te donne quelques exemples de mes anciens comportements qui m’ont mis sur la piste des blessures :

 

Blessure de trahison

Avoir du mal à déléguer parce que j’avais peur que les choses ne soient pas faites correctement,

répondre systématiquement « Non ça va je m’en occupe/je gère » quand on me proposait de l’aide … alors qu’en fait je ne me posais même pas la question de mon état de fatigue ou de mon besoin d’être aidée à ce moment-là. La réponse sortait de manière inconsciente et automatique.

Me surprendre à régulièrement dire « oui » alors que je pensais « non ».

 

Blessure d’abandon

M’arranger pour ne jamais être seule avec moi-même pour ne pas être confrontée au vide que je ressentais au fond de moi. Je remplissais mes journées à FOND ! Avec des rdvs, du travail, de la musique, du sport, des activités, des exercices de développement personnel, des lectures, des sorties … tout était bon pour ne pas … Rien faire et juste … être là avec moi.

Le fait de me perdre complètement dans mes relations amoureuses et de me « sacrifier » pour systématiquement faire passer les besoins des autres avant les miens … même les besoins des personnes que je connaissais peu passaient avant les miens.

 

Blessure d’injustice

J’avais l’impression de ne jamais en faire assez, de ne pas être à la hauteur, pas être assez « bien » pour être aimée telle que j’étais.

Je me comparais tout le temps aux autres et les trouvaient tellement plus talentueux que moi, que mon estime de moi glissait dans mes chaussettes lorsque je me trouvais face à quelqu’un qui me ressemblait … en mieux à mes yeux.

Le jugement et la critique tant des autres que de moi-même étaient mon quotidien. J’avais toujours un truc à redire sur moi ou sur les gens qui m’entouraient.

Dès que je me sentais blessée, quelque chose en moi se rigidifiait et devenait juste glacial pour les personnes extérieures … à l’intérieur je ressentais juste une immense colère que je pouvais à peine contenir.

 

Blessure de rejet

J’avais tellement peur que l’on me juge, que l’on me critique, que l’on me rejette que je cachais bien au fond de moi toute trace de vulnérabilité. Je ne me rendais pas compte que je rendais compliqué le fait que l’on puisse m’approcher, prendre soin de moi et m’aimer en mettant une distance kilométrique entre moi et les autres. J’avais tellement peur de souffrir que je mettais une armure de guerrière et que je ne laissais rien transparaitre. À l’intérieur je me sentais juste isolée et tellement seule, j’aurais aimé que les autres le voient et prennent spontanément soin de moi … mais je m’en privais. Non seulement en ne le montrant pas, en mettant de la distance, mais aussi en niant ma souffrance et mon état de solitude intérieur lorsqu’on m’interrogeait à ce sujet.

 

Blessure d’humiliation

Pour ne pas ressentir de la honte face à ma grande sensibilité qui avait été plusieurs fois mise à mal dans le passé, je me suis construit une image. Une version de moi qui collait à ce que je pensais que l’on attendait de moi. Une version socialement enviable et acceptable … socialement acceptée. Le souci c’est que ce n’était pas moi. Je me suis tellement enfermée dans ce masque, que j’ai commencé à étouffer, à suffoquer dans cette prison dorée que je m’étais construite … Je me sentais comme morte à l’intérieur et ma vie n’avait plus de sens malgré la façade apparente du confort, de la sécurité, de la famille parfaite et de la réussite que je montrais. C’était du fake et m’en rendre compte fut juste atroce.

 

J’ai cherché des livres, des outils pour comprendre tout cela et le livre de Lise Bourbeau : « les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » m’a permis de mettre des mots sur ce qui se passait en moi et d’identifier mes blessures.

 

Le souci c’est qu’il ne me fournissait pas la suite … On fait quoi avec tout ça maintenant ?

Je me retrouvais avec des étiquettes à coller sur les blessures

… mais je ne savais pas comment les soigner ?

… comment les désactiver pour qu’elles ne se déclenchent plus automatiquement ?

… comment vivre une vie qui a du sens, remplie de joie et dans laquelle je peux enfin être moi en toute authenticité ?

 

Alors j’ai bossé dur sur moi pour faire face à chacune de mes blessures

… pour trouver ce qui les caractérise en profondeur

… ce qui me permet de prendre conscience de leurs déclencheurs et ce qui enraye le processus

… ce qui m’apaise dans les moments de stress les plus intenses

… ce qui m’évite de boucler encore et encore dans les mêmes schémas répétitifs qui me gâchent la vie.

 

Et aujourd’hui je peux te dire que ma vie est bien différente de celle d’avant. Elle est beaucoup plus légère et joyeuse. Elle n’est pas forcément plus simple, mais elle est beaucoup plus sereine.

Elle a retrouvé ce sens et cette authenticité que j’avais perdus en m’éloignant de moi-même.

 

Je ne vais pas te dire que le programme que je te propose te permettra de guérir de tes blessures et d’avoir une vie qui sera toute rose bonbon. Il te restera des exercices que la vie t’enverra et il te faudra t’y confronter.

 

Par contre, ce que je peux te dire, c’est que les outils et exercices, que j’ai mis en pratique et condensés dans ce programme, permettent de retrouver plus rapidement son équilibre dans les tempêtes de la vie.

Ils permettent de ne plus te laisser embarquer par tes blessures et tes systèmes de défense parce que tu as un moyen de les voir et de ne plus plonger dedans de manière inconsciente et automatique.

Ils permettent de ne plus avoir peur de prendre ta juste place, quoi qu’en pensent ou qu’en disent les autres … simplement parce qu’à l’écoute de toi-même, tu sais ce qui est juste et bon pour toi.

 

Bloque un call si tu souhaites en discuter avec moi ou si tu as des questions au sujet des blessures émotionnelles qui apparaissent chez toi : https://www.anne-laure-terrisse.com/contact

 

Prends soin de toi,

Anne-Laure Terrisse

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Suis-je hypersensible ?

ou suis-je juste différent ? 

Hypersensible

Suis-je hypersensible ? C’est une question que je me suis posée il y a quelques années maintenant. J’ai souvent remarqué que je ne fonctionnais pas comme les autres et que j’étais … à part.

 

À peu près aussi à l’aise qu’un dragon dans une basse-cour, les autres posaient en permanence un regard étrange sur moi … Celui que l’on poserait sur un extraterrestre qui aurait atterri là par erreur.  

 

« Tu n’es pas comme nous, tu as trop d’énergie, des idées qui partent dans tous les sens, tu es trop émotive, trop sensible, trop colérique, pas assez diplomate, tu prends les choses trop à cœur, trop perchée avec toutes tes histoires de l’invisible, tu te prends trop la tête, tu poses trop de questions, tu ne sais pas rester tranquille, tu es trop curieuse, tu es trop gentille, trop romantique, pas assez raisonnable, pas assez réaliste, trop idéaliste, trop rêveuse, trop bavarde, tu prends trop de place … »

 

… sont quelques-unes des choses que l’on me disait et qui me faisaient terriblement souffrir.

Elles me renvoyaient à mon incapacité à faire partie d’une norme, d’un groupe de gens qui semblaient fonctionner d’une certaine façon avec tellement d’aisance et de facilité … alors que moi je peinais à en appliquer les codes.

 

Je me suis longtemps dit que je n’avais pas le droit d’être moi-même, telle que j’étais dans le fond parce que quand j’osais montrer une infime partie de mon intensité réelle, elle était mal accueillie. J’étais condamnée la plupart du temps parce que les personnes que j’avais en face ne comprenaient pas pourquoi mon fonctionnement était si différent du leur.

 

Alors j’ai commencé à m’effacer, à m’éteindre et à devenir « invisible » grâce à ma grande capacité d’adaptation. J’étais devenue un caméléon qui se fondait et se modelait aussi bien aux situations qui se présentaient à moi, qu’aux besoins et aux désirs des personnes que je rencontrais … tout cela pour ne pas être rejetée et abandonnée une nouvelle fois.

 

J’étais devenue la bonne copine, la compagne idéale, la travailleuse acharnée et perfectionniste, la fille aimante et conciliante, la collègue impeccable, celle qui faisait rire et remontait le moral, celle que la société attendait de moi … mais je me suis perdue.

 

Je vivais une vie idéale sur papier glacé, mais j’étais éteinte à l’intérieur, comme morte … tellement cette vie manquait de sens et de cette intensité qui était la mienne. Vide de cette essence qui m’appelait tout au fond de moi.

 

J’ai passé 21 ans comme ça à jouer des rôles et à les changer en fonction de ce que l’on attendait de moi … 21 ans en toute inconscience. Enfin, pas complètement parce que je sentais au fond de moi que je n’étais pas à ma place et qu’il fallait changer quelque chose pour être vraiment heureuse.

 

Seulement voilà, quand tu as appris à disparaitre pendant si longtemps, reconnaitre cet appel de l’intérieur fait peur, oser apparaitre fait peur, oser te dire la vérité au sujet de tous ces mensonges que tu te racontes depuis si longtemps fait peur… Tellement peur que c’est plus simple de jouer les autruches et de faire comme si tu ne savais pas.

 

C’est là que la vie te rattrape et qu’elle t’oblige à coup de claques répétées via des situations d’injustices, de trahison, d’humiliation, de rejet et d’abandon à te réveiller et à reprendre ta vie en main.

 

Lorsque j’ai découvert que j’étais parmi ces personnes que l’on qualifie d’hypersensible, de zèbres, de haut potentiel, de surdouée, j’ai eu comme un moment de délivrance. Je savais mettre des mots sur ce que je vivais, sur ces caractéristiques qui étaient les miennes. Je n’étais plus seule à fonctionner comme ça … il y en avait d’autres !

 

La joie fut de courte durée parce qu’une fois les étiquettes trouvées, je me suis aperçue qu’elles n’étaient que des étiquettes … parmi d’autres … dont je ne savais pas plus quoi faire. Je passais de l’étiquette d’Opel Corsa bizarre à celle de Ferrari … sans avoir le mode d’emploi de son utilisation délicate.

 

J’ai mis 21 ans à me réveiller et à découvrir toutes les merveilles que m’offrent aujourd’hui la chance d’être hyper. Avoir pleins de projets qui se bousculent dans ma tête et l’envie de tous les réaliser, la capacité à pouvoir m’émouvoir d’un papillon qui passe ou d’un magnifique coucher de soleil, la capacité à être profondément empathique, gentille, serviable, aimante … avec une profondeur et une qualité de présence peu commune, la capacité à pouvoir et à vouloir appendre en permanence, ne jamais être fatiguée de découvrir avec émerveillement de nouvelles choses, d’avoir une ouverture d’esprit hors du commun qui me permet de faire connaissance avec n’importe quel type de personnes provenant de n’importe quel milieu et avec des histoires de vie qui sortent de la norme, celle de pouvoir me fondre dans n’importe quel milieu ou classe sociale avec la plus grande facilité, le fait d’oser de nouvelles choses qui sortent des sentiers battus et d’oser être pionnière dans mon domaine, la capacité à pouvoir avoir une coloration complètement unique et à l’assumer pleinement parce que maintenant j’en connais la valeur et la richesse, celle d’avoir des rêves ambitieux et le culot d’oser les réaliser.

 

Je t’écris tout cela parce que tu vas peut-être te reconnaitre dans ces quelques lignes.

 

Peut-être que toi aussi tu vis une transition de vie, que tu t’interroges sur ta place avec la grande sensibilité qui est la tienne, peut-être que tu ne sais pas quoi faire avec les blessures émotionnelles qui se réveillent en toi quand d’autres personnes viennent les déclencher ou que tu rêves d’une autre vie qui aurait plus de sens que celle que tu vis actuellement. Peut-être que toi aussi tu ne sais pas quoi faire des étiquettes que tu collectionnes et qui ne t’aident pas à avancer dans tes peurs et tes blocages.

 

Si c’est le cas, je veux juste que tu saches qu’il est possible d’être « hyper », mais aussi d’être heureux, équilibré, et de vivre en harmonie avec les autres dans toute son amplitude émotionnelle.

 

J’ai créé et condensé dans un programme tout ce qui m’a permis d’assumer ce côté hyper qui est le mien et d’être en paix avec lui en plus de le mettre au service des autres de manière équilibrée.

 

Durant toute cette semaine, je vais te parler de ce programme parce qu’il va s’ouvrir pour que 10 personnes (9 depuis hier) puissent le rejoindre avec du coaching individuel en plus. Au-delà de ces 10 personnes, il restera ouvert, mais uniquement avec du coaching de groupe. Le travail sera aussi profond, mais moins ciblé sur ta problématique individuelle.

 

Si tu souhaites en discuter avec moi, je t’invite à prendre un call pour que je puisse t’aider à te débloquer en réservant une plage via ce lien : https://www.anne-laure-terrisse.com/contact

 

Si tu veux voir comment j’applique ce que je te partage au jour le jour, je t’invite à voir ce vlog où je t’explique comment j’ai mis en pratique durant 7 jours les outils que j’utilise : 

 

En attendant … prends soin de toi,

Anne-Laure Terrisse

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La douceur ok !

Mais ça veut dire quoi être doux avec soi ?

douceur

Voici la question du moment : « C’est quoi en fait être doux avec soi ? ». Je me suis posé la question ce matin. Ce n’est pas la première fois que je me la pose, mais là ça revenait une nouvelle fois se montrer.

 

En fait, je n’ai jamais eu d’exemple autour de moi de personnes qui faisaient preuve de douceur envers elles-mêmes. J’ai eu comme exemple des personnes qui baignaient dans ces croyances telles que :

« il faut bosser dur pour réussir », «la vie ce n’est pas facile. C’est pénible et dur, mais il faut s’accrocher quand même », « c’est normal que dans un couple ce soit difficile, ce n’est pas pour ça qu’il faut divorcer. On reste ensemble quoi qu’il arrive. Quand on signe un contrat, on l’honore quoi qu’il arrive ».

 

Toutes ces choses et bien d’autres encore ont forgé en moi cette croyance que pour avancer dans la vie, il faut se faire mal, que c’est normal …. et même nécessaire.

 

Pourtant, il existe une autre voie, celle de la douceur.

 

Il m’a fallu beaucoup de temps pour la trouver. Et certain jour comme aujourd’hui, la question se pose encore. Alors je prends le temps de l’explorer et je te partage dans ce mail ce qui m’est venu à ce sujet.

 

Voici ce que j’ai appris de la douceur …

 

Être doux c’est écouter ton corps quand il te dit : « stop, je suis fatigué ! J’ai juste envie de me reposer et de ne rien faire d’autre », « s’il te plait, sortons dehors, ça fait bien trop longtemps qu’on n’a pas respiré de l’air frais », « prends du temps pour toi, pour nous, parce que nous avons besoin de joie et de plaisir là maintenant ».  

 

Être doux, c’est se dire qu’on n’est pas obligé d’être parfait pour exister, pour apparaitre, pour être accepté. C’est te laisser un peu tranquille, arrêter de vouloir faire des performances dans un domaine ou un autre (amical, familial, professionnel, sportif, social ….). Juste accepter d’être là, sans avoir à faire quoi que ce soit pour prouver que tu as une raison valable d’exister.

 

C’est t’autoriser à être toi-même, complètement, sans masque. Et oui, aussi parfois vulnérable. Et si ça ne plait pas, peut-être que cela renvoie juste les autres à quelque chose qui leur appartient et qui leur pose des difficultés. Ça parle d’eux, pas forcément de toi.

 

C’est te parler avec douceur, entrer en contact avec toi-même de manière bienveillante, compréhensive, délicate. Comme tu pourrais le faire avec un tout petit enfant. Car en toi, il y a encore ce petit enfant qui a tellement besoin de douceur … qu’il se tourne encore parfois vers l’extérieur en espérant de tout son cœur la trouver… Ne fut-ce que le temps d’un instant.

 

… toute cette douceur elle se trouve déjà en toi.

 

Elle y est depuis toujours, en fait. Tu as peut-être simplement perdu le chemin pour la retrouver. Retrouver cette douceur cela commence par prendre le temps de t’écouter. Créer de l’espace pour ça, laisser la place pour toutes les parties de toi qui demandent à être entendues.

Une fois que tu as entendu ces appels à la douceur en toi, c’est ensuite passer à l’action pour que cela ne reste pas juste des pensées. C’est agir pour que la douceur puisse venir à toi dans le monde physique.

 

Rien ni personne ne peut se mettre entre toi et la douceur que tu peux t’offrir. Tu peux commencer par une petite action dès maintenant. Juste un petit pas … si tu en fais d’autres, cela t’amènera vers toi et une vie plus douce.

Si tu as peur d’aimer à nouveau voici un article qui pourrait t’intéresser

PS : Le programme « Reconnecte-toi à ton corps et tes émotions » ferme ses portes demain à 12h. Si tu n’as pas encore eu le temps d’en prendre connaissance, voici le lien vers son descriptif.

https://www.anne-laure-terrisse.com/reconnexion-%C3%A0-son-corps-et-ses-%C3%A9mot

 

Prends soin de toi,

Anne-Laure Terrisse

 

 

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As-tu peur d’aimer ?

… et de souffrir à nouveau ? 

peur d'aimer

Aujourd’hui je te parle de la peur d’aimer.

Tu sais, cette peur qui fait que tu te fermes à tout ce que tu pourrais ressentir de douloureux en souvenir du passé.

La peur de t’ouvrir avec tellement d’espoir, tellement d’amour, tellement d’attentes, tellement de besoins

… et de tous te les prendre dans la tronche avec la porte que l’on te reclaque au nez … et sur tes doigts.

La peur d’aimer, je t’en parle plus en détail dans cette vidéo : 

Avec une telle claque et la souffrance qui va avec, tu pourrais te dire : « C’est bon, cette fois, on ne m’y reprendra plus.

Je vais me débrouiller seul. Je ne vais plus avoir que des relations de surface (ou pas de relations du tout) et je vais cheminer seul ».

Le souci lorsque tu fais ça c’est que tu te fermes…

 

Tu fermes ton corps parce que quand tu vois que l’on s’intéresse de près ou de loin à toi, tu es en mode défense, méfiance,

et il est marqué en grand sur ton front « ne m’approche pas ! J’ai peur d’aimer ».

Tu fermes tes émotions et tu t’empêches de ressentir, de souffrir à nouveau.

Tu t’empêches d’aimer ou d’être aimé par peur de ressentir à nouveau cette atroce souffrance

… qui t’a peut-être donné envie de mourir la dernière fois que tu l’as vécue.

Le souci avec la peur d’aimer c’est que tout se ferme en toi et que tu finis pas ne plus ressentir

… l’amour ainsi que la joie qui va avec.

Ta vie devient neutre, terne et tu commences à te demander ce qui ne fonctionne pas dans ta vie.

Pourquoi ces relations que tu essaies d’entamer ne fonctionnent pas ?

Pourquoi est-ce que plus rien ne te fait vibrer ?

Pourquoi est-ce que tu ne ressens plus l’amour dans ta vie ?

Simplement parce qu’à un moment, tu t’es fermé … et que tu l’as peut-être oublié.

Moi je m’en souviens bien, je me suis fermée à l’âge de 17 ans. Suite à un gros chagrin d’amour …

Il m’a fallu une trentaine d’années pour réussir à en prendre conscience et à faire le chemin inverse.

Celui de l’ouverture du cœur, de mes émotions, de mon corps à la souffrance éventuelle que cela pouvait entrainer … mais aussi à l’immense joie.

Peut-être que ce que je te dis te parle, et que tu en es là aussi pour le moment.

Ce serait dommage que tu prennes autant de temps pour faire ce chemin toi aussi.

Parce que je te promets que lorsqu’on s’ouvre, et bien en fait, on ne souffre pas.

Pas autant que l’on s’imagine. Pas autant que quand on se ferme à une partie de soi.

Pas autant que lorsqu’on s’emprisonne dans son corps et dans une vie aseptisée qui ne nous ressemble pas.

Alors au travers du programme que j’ai créé, je te lance l’invitation de te reconnecter en douceur à toi et à tes émotions : https://www.anne-laure-terrisse.com/reconnexion-%C3%A0-son-corps-et-ses-%C3%A9mot

Ce programme s’ouvre aujourd’hui et fermera ses portes ce samedi 1er mai à midi. Donc si tu veux le rejoindre, ne tarde pas …

Prends soin de toi,

Anne-Laure Terrisse

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Tu n’en peux plus de rester derrière un écran ?

… Moi non plus !

Peut-être est-ce que tu satures complètement de rester derrière ton écran 24h/24 depuis le début du confinement. Eh bien je te comprends, moi aussi !  

Du coup, je sors me promener dès que je peux. Je me défoule, je profite de la nature et de tout ce qu’elle m’offre comme plaisirs quotidiens et je me forme en ligne …. À l’extérieur.

 

Quoi ? Mais de quoi parles-tu Anne-Laure ?

 

Je te parle de ces moments où je suis partagée entre l’envie de me former, d’apprendre parce que je j’adore ça, et celle qui me dit de me distraire dehors parce que j’en ai vraiment besoin, c’est vital !

Celle qui me dit : « oh non ! pas encore rester derrière cet ordi que je ne peux plus voir en peinture ! ». Alors j’ai trouvé un moyen pour réconcilier les deux.

 

 Je télécharge les contenus de formations que je suis pour pouvoir les écouter dehors.

 

Cela me permet de ne pas disjoncter parce que je ne peux plus évacuer toutes les tensions que j’accumule au cours de la journée.

… Celles de la frustration de devoir rester à l’intérieur alors qu’il fait beau dehors,

… Des infos que j’ai eue durant la journée et qui m’ont stressée,

… Des tâches qui s’accumulent de tous les côtés et pour lesquelles je n’arrive pas toujours à suivre,

… Celles que j’ai parce que les enfants courent et font du bruit autour de moi alors que je bosse …

 

Toutes ces choses que je garde à l’intérieur de moi demandent à être évacuées à un moment ou un autre.

 

Si je ne fais pas, j’enclenche alors un mécanisme qui va me mener tout droit vers ce que j’appelle, « l’effet Tsunami » dont je te parle plus en détail dans cette vidéo.

Si toi aussi tu es sujet à cet effet dévastateur, je t’invite à rejoindre mon programme « Reconnecte-toi à ton corps et à tes émotions » pour avoir les clés pour ne plus boucler dans ce genre de fonctionnement qui génère beaucoup de culpabilité et de souffrance.

 

Tu y trouveras également d’autres outils et exercices pour te réconcilier avec toi-même de manière douce et fluide. Et ça tombe bien, l’intégralité des contenus est téléchargeable et tu peux le regarder dehors en profitant de la nature ou un café assis au soleil dans ton jardin.

 

Demain je te parle du contenu du programme plus en détail et si tu veux me poser des questions à ce sujet, tu peux le faire ce jeudi 29 à 19h30 sur ma communauté Facebook. Rejoins-nous !

 

 

Prends soin de toi !

Anne-laure Terrisse

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Dépasser sa peur du changement

… Ca m’a fait tellement peur de me lancer !

Ca m'a fait peur

Je ne sais pas si tu as déjà vécu ça ? Devoir dépasser sa peur du changement.

Avoir tellement envie de te lancer dans quelque chose de nouveau et avoir en même temps tellement peur. Cela peut-être une nouvelle relation, un changement de job, te lancer comme entrepreneur, démarrer un projet qui te tient à cœur …

 

C’est ce qui m’est arrivé sans que je m’y attende avec le lancement d’un nouveau programme.

Il s’agit d’un programme qui te propose de te reconnecter à ton corps et à tes émotions pour mieux les vivre et être en paix avec toi-même.

 

Ce n’est pas mon premier lancement de programme, le contenu je le connais puisque ça fait 11 ans que je le partage avec mes clients en tant que coach et psychologue.

 

Pourtant, la peur était-là, paralysante, tétanisante, incompréhensible. Comment un projet qui m’emballe complètement, qui est déjà prêt, que je connais par cœur et qui me met en joie peut-il générer autant de peurs ?

 

C’est ce que je t’explique dans cette vidéo ou je me montre … toute nue. Pas sans vêtements … non, ça, ça n’aurait pas été si difficile. Je veux dire, vraiment nue …

Se montrer sous cet aspect, totalement vulnérable, sans masque … est un exercice qui n’est pas simple.

 

Il le devient lorsque tu es à plus à l’aise avec ton corps et les tensions terribles que des remontées émotionnelles peuvent générer.

 

Il le devient lorsque tu sais que ces émotions qui t’habitent, même si elles te font peur parfois parce que tu les sens te submerger complètement, t’aident à devenir une meilleure version de toi-même lorsque tu acceptes de les accueillir.

 

Il le devient lorsque tu es totalement reconnecté à toi et que tu peux pleinement jouir de l’instant présent et de ce qu’il te fait comme cadeau… même lorsque tu es totalement vulnérable.   

 

Parce que c’est trop important pour moi que tu aies toi aussi à disposition ces outils qui permettent d’apparaitre tel que tu es, pleinement toi dans toute ta force et ta vulnérabilité. J’ai décidé de tous les réunir dans un seul programme qui va te permettre d’être plus à l’aise avec ton corps, tes émotions et de pouvoir fonctionner avec eux de manière fluide et confiante.

Ces outils que j’utilise moi-même dans cette vidéo pour accueillir mes émotions et tout ce qui se passe dans mon corps. C’est comme ça que j’ai pu faire l’exercice de dépasser sa peur du changement. 

Je te parlerai plus en détail de ce programme tout au long de cette semaine…

PS : N’hésite pas à rejoindre ma communauté Facebook si cela t’intéresse car ce jeudi 29 avril à 19h30. Je ferai un live au sujet du corps, des émotions et de ce programme qui te permet de ne plus avoir peur de ce qui remonte en toi. https://www.facebook.com/groups/387630055767915

Prends soin de toi,

Anne-Laure Terrisse

 

 

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